BIENVENUE !

Fidèle à la tradition d’accueil des établissements français à l’étranger, le Lycée Franco-Costa Rican est reconnu par le ministère de l’Éducation nationale et conventionné avec l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE).

Il accueille plus de 1080 élèves et participe pleinement au réseau international des lycées français présents dans 137 pays du monde.

C’est avec une immense joie et une grande émotion que nous vous accueillons à la rentrée 2024 au Franco, établissement dédié à l’épanouissement intellectuel, artistique et social de chaque élève, de la maternelle à la terminale. Cette nouvelle année scolaire promet d’être riche en découvertes, en apprentissages et en moments inoubliables. A Franco, nous croyons à la richesse de la diversité, à la curiosité qui stimule l’esprit et à la collaboration qui favorise l’épanouissement personnel.

Bienvenue à vous tous, et que cette année continue d’être synonyme de réussite et d’épanouissement pour chacun d’entre vous.

Voeux 2024 de la directrice générale de l'AEFE: Claudia Scherer-Effosse

Agence pour l'Enseignement du Français à l'Etranger

Inscriptions 2023

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AEFE

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Le Lycée!

En accueillant au quotidien plus de 20 nationalités différentes sur ses bancs, le Lycée Franco-Costaricien crée des affinités durables entre les élèves français et étrangers.

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PERSONNEL

Témoignages de nos anciens

Que dit-on de notre institution?

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Carolina Mauri

GENERATION 1986

Carolina Mauri, Ministre des Sports du gouvernement Solis Rivera, fut élève du Franco de 1976 à 1989. Elle a fait son CP à la Casa de los Leones, la dernière année où l’école primaire y a siégé. Elle est restée au Franco jusqu’au bout. De 1976 à 1986. Ses parents l’ont inscrite dans cette école car elle y aurait la possibilité d’apprendre le français et de connaître la culture française.

Parmi ce qu’elle apprécie de son expérience au Lycée figurent la discipline, le sens de la responsabilité et le respect des avis des autres. Elle s’y est plu surtout parce que les groupes étaient petits, favorisant les rapports très proches entre les camarades de classe. Néanmoins, du point de vue des études, elle sent que les professeurs étaient vraiment exigeants et elle se rappelle de se sentir sous pression.

Carolina considère que le Franco a joué un rôle essentiel dans sa vie. Du point de vue professionnel et académique, elle reconnaît y avoir donné forme à sa pensée critique et analytique.  Mais aussi, étant nageuse de compétition depuis son jeune âge, et bien qu’elle pratiquât ce sport en dehors du Lycée, elle a toujours reçu le soutien des directeurs et des professeurs lorsqu’elle devait voyager avec l’équipe nationale de natation.  Au niveau personnel,” la discipline et la recherche de l’excellence dans tous les domaines de ma vie” constituent la marque indélébile du Franco.

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Sébastien Fallas

GENERATION 2015

Sébastien Fallas est sorti du Franco fin 2015. Elève depuis la maternelle, de nationalités belge et bostaricienne, il a terminé sa scolarité avec une Terminale S spé maths. Après un semestre à la UCR où il a étudié l’ingénierie mécanique, Sébastien est parti en France rejoindre l’école d’ingénieurs ESILV/pôle Leonard de Vinci à Courbevoie, près de Paris. Après quatre ans d’études mécaniques, il s’est spécialisé en ingénierie aéronautique. « Partir en France est cohérent avec la scolarité du Franco. Ce qui m’a aidé a été de savoir ce que je voulais faire ». Cette cohérence est académique, mais pas seulement, selon Sébastien : « Au Franco, le niveau d’études est extraordinaire. De nombreux enseignants ont vécu à l’étranger et ont beaucoup de choses à nous apprendre. Quand on arrive en France, on est souvent mieux préparé que les autres, car on sait correctement écrire et parler, et on a un bon niveau de culture générale. En revanche, nous sommes nombreux à avoir constaté notre manque de préparation pour la vie quotidienne : déménager, habiter seul, etc. On a une telle pression pour partir, parfois, qu’on en oublie cet aspect matériel. Mais le réseau des anciens élèves en France est réellement présent quand on le sollicite. » Sébastien juge très positivement le bilan de sa scolarité au LFC : « Le lycée est fait pour apprendre, mais au Franco on apprend à devenir une personne. On apprend à apprendre et on réfléchit différemment, en acquérant un esprit critique. Le parcours humain qu’on y suit nous transmet un esprit qui nous incite à nous investir. »

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Natalia Baldizon

GENERATION 2017

« J’ai passé toute ma scolarité au Franco, de la Petite section à la Terminale, j’ai grandi avec les mêmes camarades. Le lycée, c’était merveilleux, en particulier les enseignants, surtout les plus stricts, car ils m’ont cadrée. J’ai choisi de partir en France dès la 3ème, puis en Terminale j’ai eu des doutes, d’autant plus que surtout que le soutien de mes parents était mitigé au départ. Désormais j’étudie le droit à Bordeaux, c’est une discipline qui vaut le coup de s’y investir, il y a beaucoup plus de débouchés que le métier d’avocat. J’étudie les systèmes juridiques en français et en espagnol, ce qui ouvre des perspectives dans les pays francophones et hispanophones. Le Franco m’a donné une ouverture culturelle importante par rapport à d’autres jeunes de mon âge, je l’ai compris dès l’université. J’ai reçu de bonnes bases pour la fac en France et au Costa Rica, et voir deux systèmes permet de construire sa propre méthode de travail. Je pense que partir en France apporte plus que de rester, et si l’on a un projet professionnel international c’est indispensable. »

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Claudia Barrionuevo

GENERATION 1977

Claudia Barrionuevo, dramaturge et metteuse en scène de théâtre, est issue de la promotion 1977. Sa pièce, « No Matarás », a été à l’affiche du « Teatro Espressivo », fin 2019. Egalement scénariste de cinéma et de télévision, chroniqueuse d’opinion (plus de 500 chroniques publiées entre 2004 et 2016 dans le journal costaricien La República), Claudia Barrionuevo est  née à Buenos Aires. Elle raconte son arrivée au Franco en Sixième, l’année où est sortie la toute première promotion, après un passage par la Colombie : « Après le lycée français de Bogotá, immense et strict, je suis arrivée à la « Casa de los Leones » qui était si petite que les cours avaient lieu de manière alternée pour avoir accès aux salles. Au lycée, désormais installés à Concepción, j’ai choisi les Sciences pour suivre mes amis, même si on me conseillait la section littéraire. J’ai fait une Terminale scientifique, mais à ce moment-là déjà je ne pensais qu’au théâtre ».
Claudia raconte son arrivée à l’université à 19 ans : « La France, c’était le rêve de mes parents ; j’ai encore en tête leurs disques de Piaf et de Trenet. Alors quand je me suis retrouvée seule à Paris, c’était dur. Certes j’ai étudié le théâtre à la Sorbonne, mais c’était surtout théorique ». Après avoir constaté son ennui, Claudia rentre au Costa Rica au bout de deux ans, elle valide ses équivalences, termine son cursus et étudie enfin la mise en scène.
Claudia estime avoir acquis une bonne formation au Franco : « La façon de penser des Français, avec un certain niveau d’exigence et d’ordre, ne m’a jamais quittée : je suis très systématique dans mon travail. Cette mécanique intellectuelle m’a aidée dans l’exercice de mon métier ». Claudia garde de sa scolarité un souvenir de professeurs « de très bon niveau » et qui « fumaient en classe ». Cette ambiance sérieuse et bohème, dans le prolongement de l’éducation libérale reçue de ses parents, lui correspondait : « La mixité sociale du lycée, c’était important pour moi. Il y avait une certaine homogénéité idéologique. On parlait de tout. Un enseignant était homosexuel, c’était normal. C’est une ouverture que mes frères et sœurs, qui n’ont pas étudié au Franco, n’ont pas vécue dans le Costa Rica de l’époque. Cette conscience humaniste de gauche a contribué de façon déterminante à ma formation ».

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Rodolfo Arias

GENERATION 1973

“Cuando matricularon a Rodolfo Arias en el Franco, era aun estudiante de Primaria del Edificio Metálico en San José, la Escuela Buenaventura Corrales. De hecho, lo primero que aprendió a decir en Francés fue “métallique”. Se lo pregunté a uno de sus profesores de francés, que no hablaban Español, en las clases que recibía en La Casa de los Leones del Paseo Colón. De niño atravesaba caminando la ciudad de San José en las tardes, para recibir los cursos audiovisuales en el recién inaugurado Liceo Franco-Costarricense, al que entro en 1969. En el recorrido diario que hacia entre el Barrio Amón y el Paseo Colón debía pasar por la zona del Mercado Borbón. Le gustaba observar los diferentes puestos del mercado y hablar con los vendedores.” (suite…)

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Rina Cáceres

GENERATION 1973

Rina Cáceres, historienne, appartient à la génération qui a commencé au Franco en 1969. Les premières phrases qu’elle a su dire en français étaient « Là-bas c’est Paris » et « là-bas c’est la boulangerie ». Elle les a apprises en 1967, une année avant son entrée au Lycée Franco-Costaricien, lorsqu’elle prenait des cours à l’Alliance française avec un groupe de jeunes souhaitant intégrer le lycée en 1968. Elle ne les oublie pas. Et quand elle raconte cela à ses collègues francophones du monde entier, ils sourient. Rina fait partie de la première promotion du LFC et on peut la voir sur l’une des photos publiées dans un journal à l’occasion de l’inauguration de l’établissement. Elle se souvient du temps où elle était lycéenne comme d’une époque très stressante. Cependant, elle reconnaît le projet ambitieux et l’énorme défi.